• Sur le chemin du retour, nous marquons une halte pour visiter (enfin re-visiter) la cité médiévale de Carcassonne.

    Cette cité et le Canal du Midi dont classés au Patrimoine Mondial de l'Humanité, et bénéficient d'une renommée internationale. Elle accueille plusieurs millions de visiteurs chaque année.

    En quelques mots : remparts, château, habitations, ruelles, commerces ...

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  • Falaises blanches, berges joliment arborées, et au milieu coule la rivière. La vallée de la Dordogne conduit de Sousceyrac à Souillac dans un entrelac de villages perchés, de grottes fameuses et de barges gorgés de prunes. Un décor en vert et bleu, teinté de l'ambre des villages. Un écrin splendide qui se parcourt sur des routes au panorama exceptionnel. Dès le Moyen-âges, cette vallée s'est placée au coeur des échanges marchands et des ordres monastiques puissants. Il n'y a qu'à s'arrêter dans ce chapelet de villages et bastides pour comprendre le poids de l'histoire.

     
     
     
     
     
     

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  • Au départ de Cahors, une route bordée de falaises se faufile dans la vallée du Lot jusqu'à un spectacle inoubliable : ce village. Sur son piton rocheux, à 100 mètres au dessus de la rivière, le village médiéval présente un profil fier et se déroule en une cascade de ruelles pavées, de façades gothiques, de portes fortifiées.

    Ce village a été classé récemment "le village préféré des Français".

    Description du village via l'OT :
    "Chef-lieu de l’une des trois vicomtés du Quercy, Saint-Cirq Lapopie fut partagé au Moyen Âge entre plusieurs dynasties féodales dont les familles dominantes de Lapopie, de Gourdon et de Cardaillac. De ce fait, plusieurs châteaux et maisons fortes constituaient le fort seigneurial et dominaient le village.

    En contrebas du fort, les rues du village, fermées par des portes fortifiées, ont conservé de nombreuses maisons anciennes dont les façades en pierre ou à pans de bois ont été construites entre le XIIIe et XVIe siècles. Étroites, elles sont caractérisées par leurs toits de tuiles plates, à fortes pentes.

    Les rues, où s’ouvrent des arcades d’échoppes, conservent le souvenir des activités artisanales qui firent la richesse de Saint-Cirq. Peaussiers de la rue de la Pélissaria, chaudronniers de la rue de la Peyrolerie et surtout tourneurs sur bois ou roubinetaïres, dont les ateliers produisaient les moules à boutons, écuelles, gobelets et robinets de tonnellerie.

    Au pied du rocher de Lapopie, moulins, barrages, ports, écluses et chemin de halage évoquent les périodes de gloire d’une activité batelière qui fut florissante."


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  • Rocamadour semble faire corps avec la pierre qui tombe du causse de Gramat. Dans cette cité médiélvale, les maisons superposées épousent les flancs de la falaise. Déjà au Moyen-âge, cette ville suscitait l'admiration et la sonorité de son nom, à la fois rocailleuses et fruitée, était sur toutes les lèvres. Les pèlerins accouraient de toute l'Europe pour prier, se recueillir sur les reliques de Saint-Amadour et vénérer le sanctuaire de la Vierge Noire. Aujourd'hui encore, en passant sous la porte du Figuier, on tombe sous le charme de l'unique rue du village, celle de la Courinnerie, toujours autant animée avec ces nombreux commerces. Puis il faut grimper les 233 marches de l'escalier monumental pour atteindre le coeur religieux de Rocamadour : un parvis avec 7 églises et chapelles, dont cette de Notre Dame qui abrite la Vierge Noire. Tout en haut, le château mérite une visite et offre un panorame vertigineux depuis ses remparts sur la cité. S'étalent en contrebas le Parc naturel régional des Causses du Quercy et le canyon où coule l'Alzou.

     
     
     

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  • Mur de calcaire d'un kilomètre et haut de 80 mètres !

    Ici, l'oeuvre du temps plus qu'ailleurs montre ce que deviennent les entreprises les plus audacieuses. De cette imprenable cité cramponnée à la paroi, seules demeurent les traces de l'ambition, de la peur et de la solitude de ses habitants qui depuis des millénaires ont aménagé la roche.

    L'imposante falaise de la Roque Saint-Christophe s'étend sur un front d'un kilomètre et surplombe d'une centaine de mètres la route et la rivière Vézère. Elle comprend 5 térasses, originellement creusées par l'érosion des eaux de la rivière depuis 60 millions d'années et surtout par l'action du gel sur le calcaire durant les périodes glaciaires de l'ère quaternaire.

    Les divers objets découverts lors des fouilles archéologiques effectuées durant le XXe siècle permettent de connaître la succession des périodes d'occupation de ce lieu depuis la Préhistoire.

    Cette falaise sert d'abord d'abri aux chasseurs-cueilleurs, avec une première occupation probable par l'Homme de Neandertal (50 000 ans avant J-C), puis par l'Homme de Cro-Magnon (25 000 ans avant J-C). Suite à la sédentarisation humaine au Néolithique (3 000 ans avant J-C), la Roche Saint-Christophe connaît une occupation ininterrompue et ce jusqu'à la Renaissance, en 1588, date à laquelle le site est détruit, victime des Guerres de religion...

    La grande période d'occupation est sans conteste le Moyen Âge, à partir du Xème siècle, lorsque l'Evèque Frotaire de Périgueux décide d'édifier une forteresse pour protéger les populations contre les invasions vikings.

    Ce lieu ainsi que la vallée environnante ont été respectivement classés Monument Historique et Patrimoine Mondial de l'UNESCO.

     
     

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