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Hanoi saisit d'abord par son interminable flux de motos, scooters, vespas, vélos portant hommes, femmes, enfants et nouveau-nés, un torrent si dense qu'il en devient grisant. Et la masse des enseignes colorées, les milliers d'échoppes dans les ruelles, les rues et les avenues, empilement de fruits, de téléphones portables, de poules et de cochons, effluves mélangés de canard laqué et d'encens, senteurs de fleurs de frangipanier. Sur les trottoirs encombrés, les piétons vont zigzaguant entre les cuisines de rues et les étals des herboristes. Sous les goyaviers, des minuscules tables et tabourets de plastique rouge ou rose débordents sur les ruelles, c'est l'heure du Pho, soupe de nouilles et lamelles de boeuf.
Retour sur Hanoï avec 1 h de retard, comme toujours pour les trains ici, dans une autre gare que initialement prévu (problème technique) vers 9 h du matin.
Nous changeons d'hôtel et allons dans un Especen Hotel (mais ils sont nombreux à porter ce nom comme l'un d'eux a été coup de coeur du Lonely Planet).
Nous prenons le petit déjeuner et les repas dans différents restaurants du quartier touristique, tous excellents, repos dans la chambre, TV et ordinateur.
Réservation pour la journée de demain consacrée à la Baie de Ha Long terrestre. Beau temps aujourd'hui, hélas nous ne sommes plus à Sapa, mais ces deux jours ont eu tout leur charme !
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