-
Une vidéo de haute qualité qui montre les plus belles images de notre toit du monde l'Everest.
votre commentaire -
Le 04/09/2013 : Reportage photos au coeur du Beaufortain Massif : Beaufortain (73) Météo : Beau temps ensoleillé. Températures douces (23°C au col du Cormet de Roseland). Vent faible. Sommet réalisé : Col du Cormet de Roseland (1980 m) Départ de : Beaufort Horaires :
Départ : 110 h
Retour : 17 hDénivelé : 400 m Cotation : R1 Note : 8/10 Fréquentation : Assez fréquenté Résumé de la sortie :
Série de photos au coeur de beaufortain en ce 4 septembre 2013. Verdure et lac bleu.
votre commentaire -
Le vautour fauve intervient le pre- mier pour manger les tissus mous, les entrailles, explique Christian Tessier, de la Maison des vautours de Remuzat, dans la Drôme. Puis le vautour moine s’occupe de la tête, des yeux... des parties plus accessibles. Le percnoptère fignole la carcasse et le gypaète barbu se délecte des os. Après le passage de ces quatre-là, il ne reste pas grand-chose... » C’est pour cette raison que les vautours sont indispensables à l’équilibre naturel de leur territoire.
Difficile d’apercevoir en plein repas ces nettoyeurs qui empêchent la propagation des maladies. Grâce à eux, les éleveurs locaux éliminent proprement les cadavres de leurs bètes, déposés sur des claies. Ainsi se perpétue un cycle. « Dans l’Egypte antique, le vautour était symbole de maternité : en faisant disparaitre la mort, il laissait place à la vie », rappelle Christian Tessier.
Sur le rocher du Caire, nul ne peut ignorer le vol silencieux de ces geÌants de près de 3 mètres d’envergure. De retour au nid, le jabot gonflé de nourriture pour le petit, ou partant en prospection sur un territoire de 8 000 km2, ils utilisent à merveille les courants thermiques et battent rarement de l’aile. Chaque année, 20000 personnes se tournent vers la Maison des vautours pour en savoir plus sur le grand rapace et son retour réussi sur ses terres.
-
Suivre des animaux sauvages à la trace dans la montagne pour voir leur état de santé, comprendre comment ils se déplacent et cohabitent avec les agriculteurs, les troupeaux, la faune domestique... C'est l'objectif de la vaste opération de capture de bouquetins en cours dans le Parc National des Ecrins. Une trentaine d'entre eux, représentant les deux populations de bouquetins réintroduites dans l'Oisans-Valbonnais et le Champsaur dans les années 1990, seront équipés de colliers GPS, après différents prélèvements et analyses sérologiques, qui permettront de suivre leur évolution et donne déjà un premier aperçu de leur état sanitaire. Chaque bouquetin sera baptisé par les enfants des écoles de la vallée pour pouvoir être identifiés, les données étant transmises quotidiennelent par un système satelite aux gardes-moniteurs du Parc. Cette surveillance discrète permettra aussi de comprendre pourquoi la population des bouquetins peine à se développer dans l'Oisans et le Valbonnais, contrairement à d'autres vallées du massif.
+ d'infos sur : www.ecrins-parcnational.fr
Source : www.skieur0206.kazeo.com
votre commentaire